Contrat de lecture et taux d'engagement, même combat.

Dans la newsletter "Mediarama" du 5 octobre, Cyrille Frank (merci pour ce rdv !) nous propose une synthèse de l'étude Chartbeat sur le rapport entre longueur des articles et le taux d'engagement.

🟩 Constat : finalement, seo mis à part, les critères clés pour susciter l'intérêt du lecteur d'un média print ou web demeurent quasi les mêmes avec comme recommandations retenues par cette étude : "Soigner les recirculations pour augmenter l'engagement global (ex. les articles similaires sur les brèves, les liens pour aller plus loin). Optimiser l’édition sur les papiers longs : soigner la narration, travailler les inters, illustrer, aérer, mettre en valeur des informations clés."

🟩 Synthèse de la synthèse : journalistes à vous de jouer, maquettistes / webdesigners aussi. A cela je rajouterais. Ce n'est pas parce que les contenus sont en accès libre que l'audience est garantie (en BtoB la course à l'audience ne veut rien dire ; je vous en reparlerai). Et ce n'est pas parce qu'ils sont payants qu'ils sont obligatoirement intéressants pour les lecteurs.

🟩 Un autre (très bon) moyen de mesurer la force du contrat de lecture ou du vrai taux d'engagement entre un média et son public, c'est de lui donner rendez-vous. En organisant, par exemple : une conférence, un atelier, un webcast sur un thème précis et de vérifier qui s'inscrit et combien ... D'autres moyens existent parlons-en ensemble.